DECRYPTÉE PAR UN COMITÉ SCIENTIFIQUE PLURIDISCIPLINAIRE
MyProstate - Sondage « * » indique les champs nécessaires 1. Dans quelle(s) situation(s) vos patients reçoivent-ils une suppression androgénique par uniquement une hormonothérapie de 1ère génération (agoniste ou antagoniste de la LH-HR, sans hormonothérapie de nouvelle génération associée ± chimiothérapie) ?* a. Patients mHSPC très âgés/fragiles pour lesquels il n’est pas recommandé d’ajouter une morbidité/toxicité/interaction médicamenteuse avec un autre traitement de type HTNG ou CT. b. Patients non métastatiques sur l'imagerie conventionnelle mais métastatique par imagerie métabolique (TEP/TDM choline ou PSMA). c. Patient mHSPC évoluant lentement, avec un temps de doublement du PSA long. d. Patient avec une atteinte extra-prostatique uniquement ganglionnaire. e. Patient évoluant vers une oligoprogression métastatique après traitement local. f. Aucune, je ne recommande pas de traitement par suppression androgénique sans intensification. 2. Rencontrez-vous des difficultés d’accès aux imageries métaboliques ?* a. Oui, pour la TEP au PSMA uniquement b. Oui, pour la TEP à la choline uniquement c. Oui, pour la TEP au PSMA et à la choline d. Non, je n’ai pas de difficulté d’accès aux imageries métaboliques A fortiori, le TEP-PSMA induit/induira une migration des stades, pensez-vous que cela aura un impact sur la prise en charge thérapeutique ?* a. Oui, davantage de patients seront découverts à un stade métastatique et/ou oligométastatique impliquant une intensification du traitement b. Oui, il y aura une hétérogénéité de prise en charge en fonction de l’accès aux imageries métaboliques c. Non, les traitements actuels ont été validés avec une évaluation de la maladie sur la base des imageries conventionnelles (scanner et scintigraphie osseuse) et non les imageries métaboliques. d. Aucune réponse 3. Rencontrez-vous des problématiques d’accès au Lutétium-PSMA ?* a. Oui, liée au délai de rendez-vous et prise en charge avec le médecin nucléaire b. Oui, liée à l’AMM c. Oui, liée aux problématiques d’accès à l’imagerie métabolique (TEP au PSMA) d. Non 4. Recherchez-vous des mutations BRCA1/2 chez vos patients ?* a. Oui, de manière systématique b. Oui, régulièrement chez certains patients c. Rarement ou jamais Dans quelles situations et à quel moment recherchez-vous des mutations BRCA1/2 ?* a. Tous les patients (tous stades confondus) de manière systématique b. Tous patients métastatiques c. Patients métastatiques de novo de haut volume d. En cas de forme familiale repérée par l’interrogatoire et la présentation clinique e. Au cas par cas pour les formes localisées à haut risque f. En cas d’indication théorique d’un inhibiteur de PARP g. Je ne recherche jamais car les analyses ne sont pas prises en charge par mon établissement 5. Quel est votre schéma d’irradiation pour un patient présentant un cancer de prostate opéré dans un premier temps puis qui présente une récidive locale et ganglionnaire décelée en TEP-PSMA devant un PSA à 0,45 ng/mL ? Majorez-vous la dose de radiothérapie sur les lésions visibles en TEP ?* a. Je n’irradie pas la loge et les ganglions et je ne prescris qu’une hormonothérapie seule b. Non, je ne majore pas la dose sur la lésion de la loge prostatique visible en TEP, mais j’irradie néanmoins la loge et les ganglions c. Non, je ne majore pas la dose sur la lésion ganglionnaire visible en TEP, mais j’irradie néanmoins la loge et les ganglions d. Oui, je prescris 66 Gy en 33 séances sur la loge prostatique et je majore la dose à la récidive décelée au sein de la loge prostatique à plus de 69 Gy e. Oui, j’irradie les ganglions à 54 Gy-56,1 Gy en 30-33 fractions et je majore la dose de radiothérapie à 63-66 Gy en 30-33 fractions sur la lésion ganglionnaire visible en TEP EmailCe champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.
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